Comment momineluloro est né d'une frustration
En 2019, j'ai quitté un grand cabinet
parisien. Trop de clients recevaient des
solutions standardisées alors que leurs
problèmes étaient uniques. Les PME
bordelaises méritaient mieux qu'un
copier-coller de stratégies pensées pour des
multinationales.
Bordeaux offrait ce que Paris ne pouvait plus
donner : la proximité avec nos clients. Ici,
on comprend les cycles du vin,
l'aéronautique, le digital. Cette
connaissance du terrain change tout dans nos
recommandations.
Aujourd'hui, nous accompagnons une
cinquantaine d'entreprises qui font entre 2
et 50 millions d'euros de chiffre d'affaires.
Pas des milliers. Nous préférons connaître
vraiment les gens avec qui nous travaillons.